samedi 15 octobre 2011

Notre tribune d'Octobre 2011


S’il ne fait pas exprès, il faut lui expliquer !

Le maire a du inscrire ce qui reste de sa majorité au concours de la plus mauvaise décision. Pas une semaine sans relever des incohérences dans la gestion de Creil.

L’hôtel Martinez a été mis à la vente  400000€ en 2009. La ville l’a acheté  835000€ refusant qu’un particulier ne l’achète pour un projet immobilier. Comment le maire pouvait- il espérer revendre ce bien à plus du double de son estimation initiale ?  En 2011, le maire nous apprend qu’il a trouvé un acheteur. Mais il nous cache que c’est celui qu’il a refusé il y a deux ans. A nos questions, le maire et son équipe nous opposent des réponses contradictoires. Une gêne qui en dit long du bourbier dans lequel se retrouve l’actuelle majorité. Immobiliser autant d’argent deux ans pour revendre à la même personne, au même prix, c’est une perte sèche pour la ville.



Le verbe de notre maire est aussi imprudent que ses actions sont désastreuses. Lorsqu’un commerçant creillois décide de reprendre un commerce dans la ville, le maire ne trouve d’autres commentaires que de pointer du doigt l’argent investi et il met en cause l’honnêteté de la provenance de cet argent. Une accusation grave qui ne peut être avancée que s’il a des preuves flagrantes. Le jeune Creillois a saisi un avocat pour défendre son honneur et celui de sa famille. Son seul tort a été celui d’investir dans un centre ville tant délaissé par le maire et ses supposés chargés du développement de la ville.


Les Creillois ne veulent plus de cette façon de gouverner de la majorité. Ils veulent de la dynamique et non pas de l’agitation qui semble définitivement marquer le mandat de l’actuelle majorité.
 

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